Comparateur Box ADSL
Trouver l’offre internet idéale n’est aujourd’hui pas chose facile. Le choix est vaste, et il est parfois difficile de s’y retrouver parmi les différents opérateurs. Comment faire le bon choix ? Quelle box internet ADSL choisir pour votre foyer ? Grâce à notre comparateur de box internet, dénichez l’offre internet ADSL qui répondra le mieux à vos attentes.
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L’ADSL (Asymmetric Digital Subscriber Line) a longtemps été la norme pour l’accès à Internet en France, offrant une connexion haut débit via le réseau téléphonique en cuivre. Cependant, avec l’avènement de technologies plus performantes et la modernisation des infrastructures, l’ADSL est progressivement supplanté. Cet article examine les offres ADSL actuelles, les raisons de leur déclin, le calendrier de fermeture du réseau cuivre et les alternatives disponibles pour les foyers non éligibles à la fibre optique.
Sommaire
ToggleMalgré le déclin progressif de l’ADSL, plusieurs fournisseurs d’accès à Internet (FAI) proposent encore des offres attractives pour les zones où la fibre n’est pas disponible. Parmi les offres les plus compétitives, on trouve la RED Box de RED by SFR, offrant un débit descendant jusqu’à 20 Mb/s et les appels illimités vers les fixes et mobiles.
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De même, la Bbox Fit de Bouygues Telecom inclut un débit descendant jusqu’à 20 Mb/s et les appels illimités vers les fixes en France et plus de 110 pays. Il est essentiel de comparer les offres en fonction des services inclus, des débits proposés et des tarifs pour choisir la box ADSL la mieux adaptée à ses besoins.
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De son côté, La Boîte Sosh ADSL, offre un débit descendant similaire de 20 Mb/s et inclut les appels illimités vers les fixes en France et plus de 100 destinations internationales. Cette box est proposée sans engagement et la télévision est disponible en option pour 5 euros par mois via un décodeur ou gratuitement via l’application Orange TV
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Enfin, la Freebox Révolution Light ADSL de Free propose un débit descendant jusqu’à 20 Mb/s, les appels illimités vers les fixes de plus de 110 destinations et un accès à 230 chaînes TV, le tout sans engagement.
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La qualité de la connexion Internet à domicile est fortement influencée par la technologie Wi-Fi, surtout lorsque l’accès repose sur des fournisseurs utilisant des technologies comme l’ADSL. Les box modernes incluent généralement des normes Wi-Fi avancées pour optimiser la vitesse et la portée du signal. Cependant, sur une connexion ADSL où le débit est limité, un réseau Wi-Fi bien optimisé est crucial pour minimiser les pertes de performances. Le Wi-Fi 5 (802.11ac), encore très utilisé, offre des vitesses satisfaisantes, mais peut être limité dans les environnements avec de nombreux appareils connectés.
Les technologies plus récentes comme le Wi-Fi 6 et le Wi-Fi 7 améliorent la gestion simultanée des connexions et réduisent la latence, ce qui est particulièrement utile pour le télétravail ou le streaming. Bien que l’ADSL ne puisse pas pleinement exploiter ces normes en termes de débit, elles permettent une distribution plus fluide du signal à l’intérieur du foyer, réduisant ainsi les congestions sur le réseau local. L’utilisation de répéteurs Wi-Fi ou de systèmes mesh peut également compenser certaines faiblesses des connexions filaires limitées, notamment dans les logements étendus ou avec des murs épais.
Tout d’abord, cette technologie repose sur le réseau cuivre, une infrastructure déployée il y a plus de 50 ans, qui est désormais vieillissante et nécessite des réparations fréquentes. L’ADSL offre des débits limités et une latence élevée, ne répondant plus aux besoins actuels en matière de télécommunications, notamment avec l’essor du télétravail, du cloud et des outils collaboratifs. Par ailleurs, le réseau cuivre est énergivore, consommant quatre fois plus d’électricité que la fibre optique.
De plus, le déploiement massif de la fibre optique s’impose comme une alternative plus performante et durable. Avec des débits supérieurs, une latence réduite et une connexion plus stable, cette technologie répond mieux aux exigences des usages numériques actuels. Les opérateurs télécoms, en collaboration avec les pouvoirs publics, ont engagé un plan de fermeture progressive du réseau cuivre, avec pour objectif une extinction complète d’ici 2030. Cette transition vise à moderniser les infrastructures de télécommunication en France, en remplaçant l’ADSL par la fibre optique pour offrir aux utilisateurs une expérience Internet améliorée et plus fiable.
L’ADSL présente des limitations importantes. Son débit, souvent insuffisant pour les usages actuels d’Internet, peine à répondre aux besoins du streaming en haute définition ou des jeux en ligne, avec des vitesses rarement supérieures à 20 Mb/s. Par ailleurs, la qualité de la connexion varie en fonction de la distance entre le domicile et le central téléphonique, ce qui entraîne une latence élevée et une instabilité du réseau.
Avec l’essor de la fibre optique, qui offre des débits largement supérieurs et une meilleure stabilité, l’ADSL apparaît comme une technologie obsolète. Les besoins croissants en bande passante, liés notamment au télétravail, au streaming vidéo en haute définition et aux objets connectés, nécessitent des connexions plus performantes que ce que l’ADSL peut offrir. Cette évolution technologique pousse les grands opérateurs à investir davantage dans le déploiement de la fibre optique et à délaisser progressivement le réseau cuivre.
Le VDSL2 (Very-high-bit-rate Digital Subscriber Line 2) représente une avancée majeure dans l’utilisation du réseau cuivre, offrant des débits nettement supérieurs à ceux de l’ADSL. Contrairement à l’ADSL, dont les performances déclinent rapidement avec la distance par rapport au central téléphonique, le VDSL2 peut atteindre jusqu’à 100 Mb/s en téléchargement et environ 30 Mb/s en envoi, à condition de se situer à moins d’un kilomètre du central. Cette technologie occupe une position intermédiaire entre l’ADSL et la fibre optique, étant particulièrement utile pour les foyers qui ne sont pas encore éligibles à la fibre.
Cependant, au-delà d’une certaine distance (généralement 1,5 km du central), les performances du VDSL2 se rapprochent de celles de l’ADSL, ce qui diminue son intérêt. Alors que le réseau cuivre est progressivement démantelé d’ici 2030, le VDSL2 reste une solution temporaire mais efficace pour améliorer les débits avant une migration définitive vers la fibre optique. Pour pallier l’absence de fibre, une alternative consiste à utiliser des box 4G/5G, qui offrent une connexion plus rapide et proche de celle de la fibre.
En France, le réseau cuivre historique utilisé pour l’ADSL est en cours de démantèlement. Ce processus, piloté par Orange, s’étend sur la période 2023-2030 et vise à mettre fin à l’exploitation de cette infrastructure au profit de technologies plus récentes. La fermeture du réseau s’organise en deux phases :
La phase de transition, qui s’étend de 2023 à 2025, marque le début du démantèlement progressif. Durant cette période, certaines communes voient leurs services ADSL supprimés à mesure que la fibre optique devient disponible. Par exemple, six communes ont été totalement déconnectées du réseau cuivre dès le 31 mars 2023 dans le cadre d’expérimentations, visant à tester le processus et à accompagner les abonnés vers des solutions alternatives comme la fibre optique. Cette étape inclut également des fermetures commerciales, où il devient impossible de souscrire de nouvelles offres ADSL dans les zones concernées.
La phase de fermeture technique, prévue entre 2026 et 2030, représente l’arrêt définitif des services sur le réseau cuivre. À partir du 31 janvier 2026, il ne sera plus possible de souscrire à des abonnements utilisant cette technologie sur tout le territoire français. Cette phase se déroulera progressivement, avec un calendrier échelonné : 15 % des lignes seront fermées fin 2026, 30 % fin 2027, et ainsi de suite jusqu’à une fermeture complète prévue pour fin 2030. Orange, en tant que propriétaire du réseau, coordonne cette transition en concertation avec l’Arcep et les opérateurs locaux afin d’assurer une migration fluide vers la fibre optique
Pour les foyers non éligibles à la fibre optique, plusieurs alternatives permettent d’accéder à Internet. Les box 4G et 5G utilisent le réseau mobile pour fournir une connexion fixe. Elles offrent des débits souvent supérieurs à l’ADSL et s’installent rapidement, mais la qualité du service dépend de la couverture mobile locale.
L’internet par satellite constitue une autre option, offrant une couverture étendue, y compris dans les zones rurales ou isolées. Les débits sont en amélioration constante, mais la latence reste plus élevée que les autres technologies et les coûts peuvent être plus élevés.
Enfin, certaines solutions hybrides permettent un accès à Internet en mobilité ou de manière ponctuelle. L’utilisation de clés 4G/5G ou le partage de connexion mobile peut être une alternative, bien que ces options soient souvent limitées par les plafonds de données des forfaits mobiles et la qualité du réseau disponible.
Avant de choisir une solution d’accès à Internet, il est essentiel d’évaluer ses besoins. L’usage prévu, qu’il s’agisse de télétravail, de streaming ou de jeux en ligne, permet de déterminer le débit et le volume de données nécessaires.
La qualité du réseau doit également être vérifiée. Il est important de s’assurer de la couverture 4G ou 5G à l’adresse concernée ou de la disponibilité d’un service satellite adapté.
Enfin, une comparaison des offres permet d’identifier la solution la plus avantageuse. L’analyse des tarifs, des conditions d’engagement, des débits proposés et des services inclus aide à faire un choix éclairé.
Les offres présentées sont sélectionnées par Lemon et sont triées par défaut en fonction d’un score qui privilégie notamment les offres les plus sélectionnées par les visiteurs. Plus d’infos sur le fonctionnement des comparateurs.
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