Aujourd’hui, Jeudi 3 Novembre, Free a décidé de retirer de ses offres la Freebox Mini 4K, l’offre premier prix de ses Freebox. Ca sera désormais la Freebox Revolution qui sera la box premier prix de Free avec un prix affiché à 19,99€/mois (contre 15,99€/mois pour la mini 4K).
Une montée en gamme de l’offre Free Telecom
Ce n’est pas la première fois que Free retire son offre premier prix. L’an dernier c’était le tour de la Freebox Crystal de disparaître au profit de la Mini 4K. On passait alors d’un premier prix à 9,99€/mois pour passer à 14,99€ puis 15,99€/mois. La montée en gamme continue avec désormais la Freebox Révolution comme premier prix : une box complète avec TV inclus (Freebox TV, TV by Canal, Canal+ serie 1 an, Prime Video 6 mois et Netflix en option) et la téléphonie vers les fixes et mobile. En terme de débit, on est sur une offre solide avec jusqu’à 1Gbt/s en débit descendant et 600Mbit/s en débit ascendant. Avec un prix à 19,99€/mois la première année (et 44,99€/mois ensuite), c’est un bon compromis la première année mais touche à un certain budget les années suivantes que tout le monde ne peut peut-être se permettre.
On ne peut que regretter la possibilité pour l’internaute de choisir une offre moins chère avec moins d’options comprises lorsqu’on n’est pas forcément intéressé par une box à gros débit et l’offre TV.
Une offre Telecom en augmentation
La suppression de l’offre Freebox Mini 4K rentre dans une logique d’augmentation des prix des abonnements télécoms que l’on remarque depuis plusieurs semaines chez l’ensemble des opérateurs. En effet, que ca soit sur la partie box internet ou forfait mobile, les prix ne sont plus du tout à la baisse. SFR a revu le prix de ses box internet également avec un premier prix désormais à 18€ pour la box starter de SFR et 19€ pour la box Red by SFR. Bouygues tient encore le cap avec sa bbox fit à 15,99€/mois mais pour combien de temps ?
Du côté des forfaits mobiles, on assiste à un alignement des offres avec un premier prix à 9,99€/mois pour 50Go qui devient la norme.
A suivre jusqu’où les augmentations vont-elles allées dans ce contexte de crise du pouvoir d’achat ?